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mercredi 13 juillet 2016

100 kms du sry Chinmoy



Ouvrez grands vos yeux et regardez l'horizon . Voyez vous le mouvement frénétique de cette petite tâche rose ?
Ben c'est moi qui court à poil dans Paris trop heureux du résultat obtenu !

De l'analyse de ses courses, on ne retire que du théorique qui nous sert de base et d'expérience pour l'avenir . Mais cela reste du théorique, parfois difficilement transposable à d'autres conditions.

Et puis quelquefois, on se retrouve dans un grand jour . Sûrement le même qui a permis à Moïse de marcher sur l'eau , à Damien de tenir 3 mois sans alcool ou à François de faire preuve d'abstinence pendant 24 heures ...
Ces jours là sont rares et magiques. Ils nous permettent d'atteindre une certaine plénitude et de toucher à la quintessence de ce que nous sommes. Ils nous offrent surtout des performances qui vont au delà de nos espérances.
L'effet pervers , chez moi, réside dans l'idée que je me fais de ces résultats . Je déteste me confronter à un temps que j'estime être ma référence ultime. j’exècre l'idée de faire moins bien et d'être mis face de ma méforme.
Du coup, je m'éclipse et vais tenter de nouvelles expériences pour éviter de me comparer à mon moi même passé.



Depuis mon 2h59 au marathon de Lille en 2012, je n'ai jamais cherché à battre ce temps. Au regard du résultat du jour, j'en suis sûrement capable mais je n'ose franchir le pas.
est ce que l'effet sera le même avec ce 100 kms ? l'avenir me le dira ...

En attendant , je profite et j'analyse ma course, éternel chercheur de la meilleure combinaison possible.

En ce dimanche Parisien , me voilà dans le bois de Vincennes pour participer à la 27ème édition des 100 kms self transcendence organisés par le Sry chinmoy team marathon.
Je viens ici pour tester ma forme et mon endurance 45 jours avant le départ de la Transe gaule. Secrètement, j'espère descendre sous les 9h et battre mon record de Stenweeck (9h20).


Sauf que le début du weekend n'a pas été de tout repos avec une sortie de 15 kms dans le bois de Boulogne (sortie course à pied ... je préfère préciser) ou je me suis longtemps demandé pourquoi les gens du coin accrochaient une écharpe colorée au rétroviseur de leur camionnette ...
Enfin, une après midi familiale consacrée à une virée touristique dans la capitale est venue achever ce sympathique samedi.

De retour dans l'appartement , les jambes bien lourdes, je pense enfin à me pencher sur les principales informations à connaître pour la course : heure de départ, lieu de départ ...
Sauf que je n'arrive pas à me connecter au site de l'épreuve. J'insiste, réitère ma recherche et le résultat reste le même : une magnifique page "erreur " s'affiche sur l'écran de l'ordinateur.
Je cherche les infos ailleurs sur la toile, trouve une adresse qui n'existe ni dans mappy ni dans mon gps et commence à légèrement m'énerver

Personnellement, j'ai une patience limitée fortement restreinte lors d'épisode de fatigue intense. Et là, je viens de marcher toute la journée ... Je dévisage  d'un regard noir l'ordinateur du frérot néo marathonien adepte de suppositoires , j'envisage sérieusement de lui faire faire un magnifique vol plané par la fenêtre.

L'énervement augmente et j'en viens à chercher une sortie longue de substitution faute de savoir ou me rendre le lendemain.

Mais le Captrail est un guerrier (sauf pour les tâches ménagères) et je décide finalement de me lever aux aurores et de me rendre dans le bois de Vincennes, sans coordonnées,  pour tenter de trouver le lieu de départ.



Le lendemain, je n'ai même pas eu le temps d'hésiter. Je tombe rapidement sur une flèche de l'organisation qui m'oriente efficacement vers le centre névralgique de l'épreuve. Inscription, retrait du dossard et on me conseille de m'enduire de citronnelle pour lutter contre les moustiques.
Comme je n'ai pas envie de luire comme François avant un triathlon ou d'avoir cette odeur persistante dans les narines pendant une dizaine d'heures, je préfère m'abstenir .

Un des membres de l'organisation m'expose le topo de la journée : un tour de 1610 m à courir 62 fois avec deux ravitos par tour.
Ce tour se situe dans les bois, sous la fraicheur bienvenue des branches de différentes essences . D'abord légèrement descendant puis légèrement montant, il offre un paysage riche qui permet de ne pas basculer vers une monotonie parfois lassante sur ce genre d'épreuve.




Chaque coureur est suivi par un membre de l'organisation qui surveille son "poulain" à chaque passage sur la ligne d'arrivée. Les bénévoles resteront concentrés toute la course, encourageant sans interruption les concurrents en les appelant par leur prénom. Cette particularité a  pour conséquence de rendre l'épreuve familiale. Au grès des rotations , j'apprends à connaître le petit nom de tout ce beau monde. Au grès des rotations, j'échange quelques mots avec les différents membres de l'épopée du jour.

J'aurai ainsi la chance d'échanger quelques mots avec Stéphane Mathieu, vainqueur de la mil'kil et pas avare de conseils pour ma future Transe Gaule. De même je croiserai Charles "Hercule" Payen, multi finisher de tout ce qui a pu être inventé en course à pied longue distance et qui m'a conseillé pour le couchage ...
merci à eux pour toutes ces infos !

Côté course, je pars tranquillement au rythme que je m'étais imposé (5'24/km). Rapidement, je sens que je suis bien et que j'arrive avec facilité à tenir un 5'10 / km sans que cela ne m'use exagérément. Nous enchaînons les tours, je me retrouve 5ème doublé 3 fois par 2 concurrents qui doivent viser le record du monde du 100 kms.



Progressivement, ces fameux coureurs commencent à baisser pavillon . Imperceptiblement, je ne les vois plus derrière moi, débouler comme des dératés . Nos allures s'équilibrent, se neutralisent à l'approche du 50ème km que je passe en 4h20.

Les sensations sont excellentes. Sans m'en apercevoir et sans vraiment  le décider , mon rythme augmente sensiblement . En l'espace de quelques kms je double tout le monde pour me retrouver en tête vers le 70 ème km.

Sur les 100 kms de Steenwerck, un habitué de ce genre d'épreuve m'avait prévenu qu'un cent bornes ne commence vraiment qu'à partir du km 75 ou se cache , comme d'habitude , le fameux mur .
Aujourd'hui, je franchis cette barrière sans difficultés l'allure augmentant encore .
Je ferai les derniers 42kms en 3h11, et les derniers 50 en 3h46.




Je boucle cette ultime épreuve de préparation à la transe gaule en 8h06. soit 1h14 de moins que mon record précédent.

Il faut avouer que les conditions pour performer étaient réunies : ravito complet à chaque tour (donc pas de sac sur le dos), temps clément ( ni trop chaud, ni trop frais ), perte de poids conséquente et entraînement assidu .

Côté organisation :
- parfaite. Le système de tour ne nécessite pas un grand contingent de bénévoles et permet de contrôler facilement tout ce qui se passe.
- 2 ravitos complets : le premier avec diverses boissons et denrées alimentaires, le second avec de l'eau.
- bénévoles sympas, cadre agréable, boisé permettant de rester à l'abri des rayons abrutissants du soleil.
- peu de coureurs , regrettable tant l'ambiance fut familiale.



Je repars donc de cette étape parisienne avec beaucoup de confiance et de certitude sur mes capacités d'endurance. Reste maintenant à les appliquer sur une course à étapes.
La question qui se pose dorénavant est de savoir quelle stratégie élaborer pour la transe gaule . J'ai ainsi une crainte , c'est d'être aspiré par l'avant de la course et me brûler des ailes en partant trop vite ...

Il va donc falloir faire preuve de retenue et de clairvoyance en se préservant le plus longtemps possible. L'objectif de l'été sera "simplement" de terminer et si possible d'épingler une étape (j'ai ciblé la dernière, celle ou on arrive à la maison !)



Place maintenant à la dernière ligne droite de l'entraînement.
Les amis, tout va bien !

résultats ... ici !



vendredi 15 mai 2015

100 kms de Steenwerck

L'homme est fait pour courir. Moi, je veux bien, mais l'homme est fait pour courir comme la Dacia est faites pour rouler ... ça marche , mais il y a mieux. Si notre créateur avait pu penser à installer une paire de roues, un moteur voire un turbo, sûr que l'homme, là , aurait été fait pour courir !
En attendant, faudra se servir de ses jambes .



Me voici donc à Steenwerck, ville hôte de ces 100 kms. L'épreuve est constituée de 3 boucles :
- une bleue de 7 kms qui servira de préambule et d'échauffement en nous faisant découvrir la commune,
- une rouge de 15 kms
- une jaune de 16 kms
Les boucles rouge et jaune sont à parcourir 3 fois.
En bref, nous réaliserons un grand 8 de 31 kms avec passage dans la salle de sport à la fin de chaque boucle. Impossible de se tromper, une ligne colorée continue est tracée au sol.



Plusieurs autres choses à savoir :
- Des ravitos tous les cinq kms jalonnent le circuit.
- Deux courses se déroulent en même temps : la version open qui est partie la veille au soir (19H) et qui permet de boucler l'épreuve en 24 h maximum ainsi que la version diurne, à laquelle je participe,  et qui laisse seulement 13 h maximum pour terminer ces 100 kms.



La course en elle même n'est rien d'autre qu'un marathon en plus long. L'objectif reste le même : trouver une allure cible et la maintenir du début jusqu'à la fin. Faire preuve de régularité est généralement synonyme de réussite.
Malheureusement, toute cette gestion , déjà difficile sur les 42,195 m se complexifie encore plus avec l'augmentation de la distance. Les ravitaillements , point crucial en course à pied, posent ici quelques soucis. En effet, espacés de 5 kms (soit entre 25 et 30 min de course) ils ne me permettent pas de partir sans sac. J'ai besoin de m'hydrater beaucoup plus souvent avec une boisson que je connais.



Deux possibilités se sont donc offertes à moi :
- soit je dégotte un gentil samaritain qui voudrait bien m'accompagner à vélo,
- soit je prends mon sac, je le remplis de 2 litres de flotte et je fais le tout en autonomie.

Évidemment, j'ai opté pour la première des solutions. Mon compagnon sera Ben , le prof de physique, croisé sur quelques offs bien épicés ( ou par exemple).

Sauf que tout ça , c'était sans compter sur son âge avancé ... le pauvre garçon , proche de la quarantaine, a voulu enchaîner un semi marathon à Bordeaux (qu'il dit , je le suppose être parti là bas pour tester quelques cépages avec son frère) puis les 105 kms de l'ultra trans Aubrac (qu'il dit, je le soupçonne de s'être exilé sur ce plateau pour s'empiffrer de fromages) . Bref, le corps de ce grand sportif gourmet n'a pas tenu le choc. Point de cirrhose ou d'indigestion, mais ... une crise d'appendicite. Oh le con ! une crise d'appendicite à 40 piges (ou presque !)



Bien entendu, il a fallut l'hospitaliser. Bien entendu, on lui a interdit de faire du sport. Bien entendu j'en ai eu rien à foutre et bien entendu, je l'ai obligé à m'accompagner. Il est vrai qu'au bout de 5 kms , quand son teint halé a viré au blanc cadavre et quand il fut pris de convulsions , je me suis moins marré. Du coup, pour éviter de quelconques accusations de maltraitances d'accompagnateur vélo , j'ai accéléré le rythme,  le laissant , avec son air reposé, sur un doux matelas d'orties au creux d'un fossé accueillant.

ou alors, je viens de raconter que des conneries (après l'appendicite ) et je lui ai souhaité un prompt rétablissement en basculant sur la seconde option : le sac et la flotte.



Les indécis pourront toujours se farcir le parcours pour vérifier les bas côtés.

Retour à la (vraie) course. 6 h , c'est parti. Autant le départ la veille à 19 h a rassemblé un beau peloton (500 personnes) , autant ce matin, le groupe est clairsemé . La cinquantaine de coureurs diurnes entame ce périple au long cours. Les foulées sont encore aériennes pour découvrir Steenwerck et les belles maisons qui s'offrent à nos regards.



Un premier groupe s'échappe rapidement au sein duquel se trouve la première féminine. Je ne cherche pas à m'accrocher. L'objectif du jour est de courir tous les kms en moins de 6 min/km afin de descendre au final sous les 10 heures. Je n'ai aucune autre idée en tête.

Pour moi, cette barrière au 100 kms est emblématique. Autant que les 40 min sur 10kms, autant que les 3h sur marathon et autant que les 200 kms sur 24 h.



Je pars donc tranquillement , calé à 11 km/h. D'abord seul pour apprécier le parcours, je rejoins rapidement un compagnon d'aventure : Bruno. Je pense être devenu un aimant à Bruno ! (cf l'écotrail de Paris).
Nos échanges vont m'occuper pendant de longs kms (30). L'histoire de ce boulanger est sympa. Le bougre a participé l'an dernier et fini en 13h20, hors délai. L'organisation a eu la classe de le laisser finir sans pour autant pouvoir l'homologuer "finisher".
Bruno est donc de retour, prêt à se venger. Et il y arrivera en 11h46. Un grand bravo à lui .



Au bout de 30 kms, Mon rythme est bien en place. A la faveur d'un ravito , je lâche mon compère et entame une course contre la montre. Dans les longues distances, cette introduction kilométrique est longue. Il faut être capable de rester en dedans, de s'économiser alors que les jambes ne demandent qu'à dérouler. La patience est une des principales vertus de l'endurance. La récompense n'est pas immédiate mais se fera ressentir sur la fin, quand, les dents serrées, l'organisme utilisera ces forces économisées jusqu'alors pour maintenir une cadence nécessaire à la performance.



Je commence à remonter du monde. On échange, s'encourage , se remonte le moral au grès de la forme de chacun. Nous croisons de nombreux coureurs partis la veille, essentiellement des marcheurs. Leur démarche est souvent saccadée. Les muscles crispés, ils sont le reflet de ce que nous serons dans quelques heures. L'abnégation et le courage de certains me surprendront durant toute l'épreuve. Leur douleur me permettra de supporter la mienne plus facilement. Des pleurs, des cris, d'autres allongés sur le bord du chemin tentant en vain de soulager leur crispation. Quand les kms s'égrainent, quand les forces s'épuisent, il ne reste que la tête pour se pousser à avancer.



De mon côté, je termine ces deux premières boucles à 11km/h à la 10ème place. Je suis seul depuis le trentième mais cela ne me dérange pas.

Au sol, les kms sont inscrits chaque 5 bornes. Vu que nous faisons toujours les mêmes boucles, nous voyons la marque des 90, 95 ... kms . Je rêve déjà d'y être. Nous ne sommes toutefois même pas à mi course.

Alors je cours, le plus régulier possible. Mes yeux sont focalisés sur la ligne continue peinte au sol. Lorsque celle ci s'arrête ponctuellement, je me sens perdu puis heureux de la retrouver un peu plus loin.



Les difficultés ne sont pas nombreuses. Pas d'énormes côtes, mais des ponts ( 12 au total ) qui permettent de franchir l'autoroute ou la voie du TGV et qui pèsent progressivement dans les jambes.
Le parcours quasi intégralement bitumé reste piégeux. De nombreux trous, de nombreuses portions en devers parsèment le circuit. Nous empruntons des routes de campagne peu entretenues et même un court passage sur chemin .
Enfin, le vent léger s'est fait ressentir lorsque nous l'avions de face. Pas d'énormes rafales, mais tout de même.



Je finis cette seconde boucle (km 69) encore à 11km/h. Je suis passé 6ème. Cette place honorifique sera perdue dès le départ du tour suivant. Daniel Fritzsch et son accompagnateur vélo vont me doubler immédiatement en me donnant quelques précieux conseils. Si seulement j'avais su le palmarès du bonhomme ... intégrale de Riquet 2009, ultra tour du lac Léman, multiples 24 heures , nombreux 100 kms ... un habitué des longues distances. Les conseils sont toujours bons à prendre.

Je commence à fatiguer. L'eau de mon sac s'est considérablement épuisée et je ne pourrais finir avec mes réserves . De toute façon j'ai surtout envie de changer de boisson. Pas que je ne supporte plus la mienne mais j'ai envie d'un autre goût, d'une autre saveur. Je rêve de coca, de banane.



Vu mon avance, je m'autorise un arrêt à chaque ravito pour boire 2 verres de coca, un verre d'eau et manger une banane. C'est calibré, millimétré. Le temps que je perds est regagné dans l'intervalle suivant.
Je ne suis pas au mieux, mais j'avance . Pas très vite mais je maintiens un 5'30/km. Je vais avancer ainsi jusqu'à la fin sans marcher.

Au 80 ème, je commence à être dans le dur. Je remarque au bout d'une ligne droite interminable un spectateur m'observant avec des jumelles. En m'approchant, je reconnais Benoît. Sympa le gars, convalescent mais quand même présent (et il n'y avait pas de bouffe à proximité !) .Cette vision féérique (au 80 ème km on est plus très clair) m'a remonté sensiblement le moral. Quelques paroles, quelques échanges me font le plus grand bien. Un grand merci à lui.
Je le recroiserai plusieurs fois jusqu'à finir l'épreuve à ses côtés.



Le nombre de concurrents s'amenuise sur le circuit . Ma dernière boucle jaune se passera bien. Une poignée de main à chaque bénévole, des remerciements et le décompte ,enfin.
Cela fait 30 bornes que je ne me suis pas fait doubler et autant que je n'ai passé personne. Je suis seul au monde ... avec Benoît. Only you !



Mais toutes les belles choses ont une fin. Et c'est en 9h20 que je termine cette épreuve. Fatigué mais plutôt content . J'obtiens une 7ème place .

Après analyse et recherche sur internet, c'est finalement a peu prêt ce que je vaux actuellement. Après extrapolation cela pourrait correspondre à un temps de 3h10 sur marathon.
Et il ne faut pas oublier le sac avec la flotte et la bouffe qui m'a ralenti, ainsi que l'absence d'accompagnateur vélo qui décharge de pas mal de choses à penser.
Cela me permettra de tenter de battre ce record dans quelques temps !



Le lendemain de la course, les jambes n'ont rien. Pas de courbatures , ni de douleurs particulières. Évidemment, j'ai une fatigue générale mais rien de conséquent.

Par contre , j'ai un genou douloureux et ça , c'est plus chiant ... je ne vais de toute façon pas courir pendant une dizaine de jours, bien glacer et tenter le vélo demain soir pour voir si je peux m'aligner sans risques au raid Paris Roubaix VTT dimanche.



Côté organisation :

- de grandes félicitations à l'organisation  ! Non seulement, le circuit est clair. Non seulement les ravitos sont fournis en liquide , en solide, en bénévoles sympathiques. Non seulement, tout le monde est en place pour 24 heures (!) avec le sourire, mais en plus, ils offrent un suivi internet régulier, précis avec un système informatique (sans puce) ou notre progression est actée à chaque passage près de petits cabanons situés sur le parcours.
- Le prix d'inscription est ridiculement bas, avec un t-shirt coton (et oui ça existe encore !) un écusson et un diplôme finisher.
- Le passage par la salle des sports à chaque boucle est un moment sympathique ou l'ambiance est excellente et ou on peut suivre son avancée sur le tableau informatique .
- le parcours en lui même n'est pas difficile mais présente tout de même quelques pièges : trous, devers, ponts, un ou deux chauffards.
- merci à toute l'équipe des 100 kms de Steenwerck pour ces bons moments !

et merci encore à Benoït pour sa présence et ses photos (pas floues !)

 

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