dimanche 4 janvier 2015

off du val joly : ennemis et difficultés

On va faire simple. Les ennemis sont au nombre de 3 :



D'abord les ronces , omniprésentes . Pensez à prendre la traditionnelle machette et les non moins efficaces pares tibias. Le short est à proscrire ... sauf pour les vrais hommes .



Second adversaire, la boue. Si vous n'en voyez pas, c'est que vous êtes perdus. Si vous ne glissez pas, c'est que vous portez vos pointes. Évitez de baptiser vos chaussures neuves lors de cette sortie, car après ça, le logo sera invisible, la couleur sera verte diarrhée post premier de l'an et le tissu sera hérissé d'épines façon cactus.



Dernier ennemi, les traversées de cours d'eau. Au nombre de 6.
Tout le monde le sait, les ponts, c'est pour les chochottes. Du coup, j'ai anticipé vos réclamations et je les ai tous évité. Votre sac va donc s'alourdir de lunettes de nage et de palmes. Pensez cependant à faire un tour chez votre médecin traitant pour vérifier les vaccins nécessaires : paludismes, tétanos, rage ou choléra.
Conseil d'ami : visez juste car sous l'eau se cache une boue dont on ne soupçonne pas la profondeur !


Les difficultés principales (j'ai pas comptabilisé les légers faux plats inférieurs à 45 degrés ) :

La côte du héron. Courte , bien pentue avec quelques marches pour aider le traileur faignant .



La côte de la liaison perdue. Et dire qu'on a failli passer à côté ...



La côte bonus. Longue et dure , comme je les aime. Les côtes, hein !



La côte de la transylvestre. Raide comme il faut.



La côte de l'école. les plus fatigués risquent de brouter un peu .



La côte bitumée. Je sais, le bitume, c'est nul mais quand ça monte, ça passe encore donc on montera !



La côte qui sent l'écurie. pas de chevaux en vue, mais la voiture est proche !



La côte qu'on commence à en avoir plein le cul. Pas besoin d'explications ...



La côte qu'on va étriper l'autre con qui nous fait passer par là sous le prétexte fallacieux d'un magnifique panorama alors que moi j'ai les cuisses qui tirent, les mollets perclus de crampes , du sang partout et des envies de meurtres.

Bon, voilà le contexte. Je n'attends plus que vous !

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