Beaucoup vont être contents : à force d'éliminer des parties et de chercher des raccourcis, le parcours fera finalement 18.5 kms et pratiquement 400 de D+ (selon openrunner ...)
Usant, boueux, la moindre portion de bitume sera jouissive, c'est pour dire !
mardi 23 décembre 2014
lundi 22 décembre 2014
l'entraînement croisé : le cross training
A force de blessures, de douleurs récurrentes ... mon entraînement devait être modifié. 4 à 6 mois sur 12 , j'étais dans l'incapacité de courir, d'aligner la moindre foulées sans avoir à serrer les dents. Je suis longtemps resté aveugle aux différents signaux que mon corps pouvait émettre mais cette année fut celle qui a fait déborder le vase : blessé en début d'année , blessé en milieu d'année, blessé en fin d'année ... pour autant, 2014 fut riche et j'aurai l'occasion d'y revenir tranquillement lors du traditionnel bilan annuel .
A chaque arrêt, se pose les mêmes problèmes : augmentation du poids et condition physique réduite à peau de chagrin , moral en berne, irritabilité ...
Impossible de progresser sans maintenir une certaine régularité physique.
A force de toujours reprendre à zéro, le corps doit encaisser de fortes charges pour revenir en forme et celles ci ne sont plus assimilées par mon organisme.
D'où "l'évolution".
Je n'ai rien inventé, je suis juste revenu à mon premier amour ... le triathlon. Pas côté course , pour l'instant, seulement côté entraînement. La multiplication des sports portés soulage mes articulations , tout en assurant une endurance fondamentale correcte. Je ne peux pas courir, pas de problèmes, je vais nager. La piscine est fermée pour vidange, le home trainer me fait de l'oeil !
je maintiens ainsi depuis quelques semaines une moyenne hebdomadaire d'entraînement inégalée jusqu'à présent. Pour exemple, la semaine dernière , j'ai pu réaliser 7 entraînement , soit 5 kms de natation, 50 de vélo et 50 de course à pieds. Rien d’extraordinaire, mais en période "creuse" c'est déjà pas mal .
Le poids s'en ressent, les kilos disparaissent progressivement et avec une relative facilité.
Les douleurs diminuent et à la moindre alarme, je me rabats sur les deux sports restants.
Cependant, ma nouvelle méthode d'entraînement devra passer au révélateur du résultat sportif. Je vais ainsi conserver ce type d'activités jusqu'au marathon du trail D2B pour voir ce que cela peut donner sur une épreuve de course à pieds. J'en saurai plus à ce moment là sur les modifications à apporter à mon entraînement (notamment au niveau de l'intensité).
En attendant, je m'éclate et ce mélange de sports m'amène une certaine fraicheur mentale que j'avais peut être perdu...
A chaque arrêt, se pose les mêmes problèmes : augmentation du poids et condition physique réduite à peau de chagrin , moral en berne, irritabilité ...
Impossible de progresser sans maintenir une certaine régularité physique.
A force de toujours reprendre à zéro, le corps doit encaisser de fortes charges pour revenir en forme et celles ci ne sont plus assimilées par mon organisme.
D'où "l'évolution".
Je n'ai rien inventé, je suis juste revenu à mon premier amour ... le triathlon. Pas côté course , pour l'instant, seulement côté entraînement. La multiplication des sports portés soulage mes articulations , tout en assurant une endurance fondamentale correcte. Je ne peux pas courir, pas de problèmes, je vais nager. La piscine est fermée pour vidange, le home trainer me fait de l'oeil !
je maintiens ainsi depuis quelques semaines une moyenne hebdomadaire d'entraînement inégalée jusqu'à présent. Pour exemple, la semaine dernière , j'ai pu réaliser 7 entraînement , soit 5 kms de natation, 50 de vélo et 50 de course à pieds. Rien d’extraordinaire, mais en période "creuse" c'est déjà pas mal .
Le poids s'en ressent, les kilos disparaissent progressivement et avec une relative facilité.
Les douleurs diminuent et à la moindre alarme, je me rabats sur les deux sports restants.
Cependant, ma nouvelle méthode d'entraînement devra passer au révélateur du résultat sportif. Je vais ainsi conserver ce type d'activités jusqu'au marathon du trail D2B pour voir ce que cela peut donner sur une épreuve de course à pieds. J'en saurai plus à ce moment là sur les modifications à apporter à mon entraînement (notamment au niveau de l'intensité).
En attendant, je m'éclate et ce mélange de sports m'amène une certaine fraicheur mentale que j'avais peut être perdu...
dimanche 21 décembre 2014
A la recherche de la liaison perdue
Le off du Val Joly avec le club de Madres se prépare tranquillement. D'ici le 11 janvier, tout sera prêt.
En attendant, j'essaie d'éliminer du parcours quelques portions monotones ou trop faciles.
Du coup, j'ai passé deux heures à quadriller un bois dans un sens comme dans l'autre, à m'égarer, à tourner en rond ...
Au final, je l'ai enfin trouvé ! 2.7 kms au combien important dans l'optique de mouiller et d'épuiser la cohorte de coureurs belges qui auront le courage de se déplacer sur mon terrain d'entraînement.
Cette petite partie du parcours aura désormais son nom : la liaison perdue. Certaines mauvaises langues comprendront bientôt qu'elle aurait dû le rester .
En attendant, j'essaie d'éliminer du parcours quelques portions monotones ou trop faciles.
Du coup, j'ai passé deux heures à quadriller un bois dans un sens comme dans l'autre, à m'égarer, à tourner en rond ...
Au final, je l'ai enfin trouvé ! 2.7 kms au combien important dans l'optique de mouiller et d'épuiser la cohorte de coureurs belges qui auront le courage de se déplacer sur mon terrain d'entraînement.
Cette petite partie du parcours aura désormais son nom : la liaison perdue. Certaines mauvaises langues comprendront bientôt qu'elle aurait dû le rester .
samedi 13 décembre 2014
Off de la transylvestre , amélioration du parcours
En prévision de l'organisation d'un off prévu pour le 10 janvier, je me suis rendu aujourd'hui au Val Joly pour tenter d’améliorer le parcours que j'avais testé il y a peu.
J'ai essayé d'éliminer les portions de bitume et de trouver des liaisons sympas pour rendre le tracé plus joueur et plus costaud.
Objectif réalisé. Le circuit est usant , extrêmement boueux et vallonné.
Par contre, il y a un peu d'eau ...
Aujourd'hui , c'est Charly qui m'a accompagné et a pris les photos. On s'est fait plaisir, maintenu une bonne allure, partagé quelques mouvements de brasse ...
Merci à lui pour cet agréable moment !
J'ai essayé d'éliminer les portions de bitume et de trouver des liaisons sympas pour rendre le tracé plus joueur et plus costaud.
Objectif réalisé. Le circuit est usant , extrêmement boueux et vallonné.
Par contre, il y a un peu d'eau ...
Aujourd'hui , c'est Charly qui m'a accompagné et a pris les photos. On s'est fait plaisir, maintenu une bonne allure, partagé quelques mouvements de brasse ...
Merci à lui pour cet agréable moment !
dimanche 7 décembre 2014
Off de l'abbaye d'Aulne , le retour
les membres du jour sont différents de celui de septembre 2013 mais le guide reste identique : Stany
le connaissant, on va bouffer des pentes raides, des racines, des ronces, des orties, de la boue, des pierres, des troncs glissants ... Yououh ! la course en version sanglier quoi.
on ne sera évidemment pas déçu !
Au final , pratiquement 19 kms de plaisir !
Merci à notre guide !
Toutes les photos (floues) .... ICI .
le connaissant, on va bouffer des pentes raides, des racines, des ronces, des orties, de la boue, des pierres, des troncs glissants ... Yououh ! la course en version sanglier quoi.
on ne sera évidemment pas déçu !
Au final , pratiquement 19 kms de plaisir !
Merci à notre guide !
Toutes les photos (floues) .... ICI .
dimanche 23 novembre 2014
Reconnaissance trail du caillou
La création du Trail du caillou Saint Waast (TDC) poursuit son processus normal : après avoir élaboré un tracé, faut bien le tester sur quelques cibles volontaires en ce dimanche 23 novembre.
Nous étions donc 43 encadrés par le "staff" de la TDC pour profiter de ces quelques heures dehors , sous un magnifique soleil insolite pour la saison.
Honnêtement, au regard du tracé, je ne m'attendais pas à ce type de parcours.J'imaginais plutôt un circuit longeant les champs un peu trop souvent, avec quelques passages pavés ... bref du trail version hainaut/avesnois ! sympa mais pas transcendant .
Ici, il faudra s'attendre à autre chose. Le 1 février 2015, la mission des traileurs engagés sur le 18 ou 31 kms va être complexe. Pour plusieurs raisons :
D'abord, la météo posera certainement les premières difficultés .Avec de la boue, déjà présente aujourd'hui alors que le temps est actuellement plutôt sec . Au cœur de l’hiver, faudra pas être chochotte. Et je ne parle même pas de l'option neige, commandée par l'organisation ou de la traversée revigorante de rivière.
En bref, vous ressortirez trempe, sale et avec un brin de scoumoune avec quelques orteils en moins ... ben ouais, c'est en février, il va faire 0 ou - 5 °C (au mieux !). C'est le Nooooooord !
Seconde crainte à avoir : le parcours. En course, le bitume, même lassant, permet de faire défiler rapidement les kms. Ici ça tombe bien, il n'y en a pratiquement pas. Tout le tracé est dans la terre, les ronces, les orties, les ronces, les orties (je sais, je l'ai déjà dit mais il y en a beaucoup ...), une voie ferrée désaffectée ...
La forêt et ses pièges sont omniprésents. Alors oui, c'est magnifique ! mais les feuilles d'automne cachent les racines, les pierres toutes plus glissantes les unes que les autres. Quelques charmants ponts en bois parsèment le circuit mais ils sont traîtres : un de mes compagnons d'aventure finira dans le fossé !
Côté profil, rien d'insurmontable : quelques ascensions pas bien méchantes mais au combien usantes à la longue. Celle du caillou qui bique risque de rester dans la mémoire de certain. Position quatre pattes obligatoire à la recherche de branches ou de racines pour tenter de se hisser au sommet du promontoire !
Troisième crainte à prévoir : les organisateurs. Vu ou on est parfois passé, leur vice ne fait aucun doute. Va falloir s'attendre à des surprises et à quelques sueurs froides ! mais bon ... on va peut être pas tout dévoiler aujourd'hui !
Ultime crainte : la bière. ouais, cette raison fait affreusement peur. On va vous obliger à passer le long d'une brasserie qui fournit la bière des jonquilles, avec toutes les bouteilles entreposées et exposées à votre vue et attention ...vous ne pourrez même pas les toucher ! Horrible sentiment d'impuissance .
Après avoir énuméré toutes ces raisons, vous ne pourrez plus dire que l'on ne vous a pas prévenu !
Mais si vous recherchez des sentiers magnifiques, de la boue et du plaisir, n'hésitez pas :
Un grand merci à l'équipe du TDC pour cette reco et les ravitos associés.
Toutes les photos ... ICI !
Le parcours :
dimanche 16 novembre 2014
Le chemin des sabotiers
La reprise de la course se fait en douceur : 3 séances par semaine, tranquille et pour m'obliger à courir doucement, je me fais accompagner par mon fils et son vélo !
Les séances se passent pour l'instant bien, d'abord 10 kms (3 séances) puis 12.5 kms (3 séances), j'augmente progressivement la charge avec pour premier objectif de ne pas rechuter et comme second d'éventuellement participer à la reconnaissance du trail du caillou saint waast le 23 novembre.
Aujourd'hui, pour changer du traditionnel chemin de hallage, j'ai opté pour la découverte du chemin des sabotiers aux abords de la forêt de Mormal. Ce parcours me fait envie depuis que je l'ai, en partie, emprunté lors de la randonnée vtt de Neuf Mesnil.
Nous voilà donc au pied de l'église de Mecquignies prêt à affronter les 13.5 kms de ce sentier.
Tout commence par une alternance bitume chemin qui rend la foulée roulante, si on excepte la boue et le balisage aléatoire.
En effet de nombreuses randonnées se croisent et au final, on ne sait pas trop ou on se trouve ...
La carte est donc conseillée pour une première découverte.
Cette première partie ne restera pas dans les mémoires et ne justifiera pas le déplacement.
Au bout de quelques kms nous pénétrons enfin dans la forêt de Mormal. Le paysage automnal accentue la beauté des lieux. Les feuilles mortes se ramassent à la pelle ...et recouvrent sournoisement des litres de boue
la rencontre avec une biche nous enchantera. Vu ses bonds, elle doit pas souffrir de périostite !
Nous serpentons entre les arbres à l'affût du chemin que les feuilles s’évertuent à cacher.
Ce passage, malheureusement trop court, restera comme le meilleur du circuit.
Nous émergeons de la partie boisée pour retrouver le classique de l'avesnois : le champ de maïs taillé, boueux avec les abords infestés d'orties.
Tout ce qui était encore propre , ne l'est désormais plus ...
Les principales difficultés sont derrière nous .
La fin du circuit ressemblera à celle du début : tantôt du bitume, tantôt des chemins mais toujours de la boue !
Nous en terminons donc ici avec ce nouveau parcours que je ne referai honnêtement plus sous cette forme. Il doit y avoir quelque chose à tracer dans la forêt de Mormal afin de prendre un maximum de plaisir et éliminer les parties inutiles.
Mais tout ça , ce sera pour une autre fois !
Les séances se passent pour l'instant bien, d'abord 10 kms (3 séances) puis 12.5 kms (3 séances), j'augmente progressivement la charge avec pour premier objectif de ne pas rechuter et comme second d'éventuellement participer à la reconnaissance du trail du caillou saint waast le 23 novembre.
Aujourd'hui, pour changer du traditionnel chemin de hallage, j'ai opté pour la découverte du chemin des sabotiers aux abords de la forêt de Mormal. Ce parcours me fait envie depuis que je l'ai, en partie, emprunté lors de la randonnée vtt de Neuf Mesnil.
Nous voilà donc au pied de l'église de Mecquignies prêt à affronter les 13.5 kms de ce sentier.
Tout commence par une alternance bitume chemin qui rend la foulée roulante, si on excepte la boue et le balisage aléatoire.
En effet de nombreuses randonnées se croisent et au final, on ne sait pas trop ou on se trouve ...
La carte est donc conseillée pour une première découverte.
Cette première partie ne restera pas dans les mémoires et ne justifiera pas le déplacement.
Au bout de quelques kms nous pénétrons enfin dans la forêt de Mormal. Le paysage automnal accentue la beauté des lieux. Les feuilles mortes se ramassent à la pelle ...et recouvrent sournoisement des litres de boue
la rencontre avec une biche nous enchantera. Vu ses bonds, elle doit pas souffrir de périostite !
Nous serpentons entre les arbres à l'affût du chemin que les feuilles s’évertuent à cacher.
Ce passage, malheureusement trop court, restera comme le meilleur du circuit.
Nous émergeons de la partie boisée pour retrouver le classique de l'avesnois : le champ de maïs taillé, boueux avec les abords infestés d'orties.
Tout ce qui était encore propre , ne l'est désormais plus ...
Les principales difficultés sont derrière nous .
La fin du circuit ressemblera à celle du début : tantôt du bitume, tantôt des chemins mais toujours de la boue !
Nous en terminons donc ici avec ce nouveau parcours que je ne referai honnêtement plus sous cette forme. Il doit y avoir quelque chose à tracer dans la forêt de Mormal afin de prendre un maximum de plaisir et éliminer les parties inutiles.
Mais tout ça , ce sera pour une autre fois !
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