lundi 21 décembre 2015
Trail des gueules noires 53 kms (Bel)
Il y a des jours comme ça ou rien ne va . Ni les jambes, ni la tête, ni rien du tout d'ailleurs .
Avant d'écrire ce compte rendu, j'ai laissé s'écouler quelques jours pour faire retomber mon énervement et tenter d'expliquer à froid cette contre performance.
D'abord, un point positif : j'ai réussi à terminer l'épreuve.Pas gagné d'avance tant le balisage approximatif, voire inexistant par endroit a follement compliqué les choses. La recherche d'un morceau de rubalise ou d'un petit point orange à parfois viré au cauchemar. Je ne compte plus le nombre de demis tours, d'égarements, d'hésitations auxquels j'ai été confronté. La galère ...
Je retiendrai le commentaire d'un de mes compagnons flamand : " gros problème dans balisation". Oui mon gars, gros problème, gros problème. Je nous vois encore à 3 kms du terme , en un groupe de 5 concurrents éparpillé sur le versant boisé d'une colline a tenté de repérer un indice pour savoir dans quelle direction se diriger.
Ce type d'exemple s'est répété plusieurs fois au cours de l'épreuve. Lorsque j'ai vu revenir de l'arrière des concurrents qui étaient sensés être devant ou lorsque je me suis fait rattraper par des coureurs en revenant sur mes pas pour retrouver le parcours .
Avec le nombre de courses que je m'enfile, cela ne m'était jamais arrivé, et je ne peux pas dire que j'ai apprécié. Pour s'en persuader, il suffit de demander aux chevaux croisés sur le circuit le nombre de noms d'oiseaux que j'ai pu hurler !
Cependant, tout n'est pas de la faute de l'organisation. Par moment, l'absence de balisage était manifeste, à d'autres, il fallait rester vigilant pour repérer les changements soudains de direction. Avec la fatigue et le manque d'attention qui en découle, avec le repli sur soit qu'implique la course, il n'est pas toujours évident de rester concentrer sur des marques aussi rares que petites.
D'ailleurs, un simple conseil pourrait améliorer les choses : l'anticipation. Lors d'un changement de direction , une petite flèche pourrait prévenir le coureur à l'avance qu'il va tourner ou une petite croix ( voire un morceau de rubalise) pourrait indiquer que le chemin emprunté jusqu'alors n'est plus le bon. En bref, quelques légères modifications pour faciliter la progression.
Autre conseil : éliminer les morceaux de rubalise déjà présents sur le parcours et appartenant à une autre organisation. Parfois déroutant, la présence de ces leurres m'a causé bien des interrogations et m'a plongé au cœur d'impasses dont il a fallut revenir de plus en plus agacé.
Je pense avoir fait le tour du gros point négatif de l'épreuve. Certains ne seront peut être pas d'accord et estimeront qu'un vrai trail nécessite un brin d'orientation. Pourquoi pas. Mais j'estime avoir réalisé suffisamment d'épreuves de toutes les distances pour pouvoir juger lorsqu'un balisage est trop light. Ce fut donc le cas ici.
Pour autant, il est toujours facile de critiquer et mon objectif est simplement de participer à une réflexion afin d'améliorer le seul couac de ce trail.
Car il ne faut pas oublier tout le travail réalisé par l'organisation. Elle nous a pondu un parcours unique ou chaque foulée nous a permis de remonter l'histoire de cette région.
J'ai bien senti la volonté de nous faire découvrir ce sombre passé .
Noir , comme la gueule des mineurs à qui nous avons pu rendre hommage lors de l'ascension (terrible) du terril du hasard
ou celui du domaine de Blegny mine.
Noir, comme le cimetière des soldats tombés pour la Belgique lors de la première guerre mondiale.
De grands moments reliés entre eux par des singles ludiques ou la jouissance
n'avait d'égale que le pourcentage des raidillons atomiseurs de cuisses semés ça et là sur le circuit.
La diversité offerte ici ne laisse pas de place à l'ennui. J'ai adoré le jeu de toboggan dans les prés entrecoupé de tourniquets. La vision en contreplongée du relief et des bosses à emprunter restera un grand moment. Tout comme quelques portions non "nettoyées" ou il faudra se faufiler entre les branchages ou sauter par dessus un tronc couché pour s'extirper de cette sauvage végétation.
Tronc qui d'ailleurs s'avèrera trop haut pour moi ! Donc pour la prochaine fois , si il était possible de placer une petite marche pour aider les concurrents de moins d'1m70 aux jambes lourdes afin qu'ils n'aient pas l'air cons coincés sur le haut du tronc attendant de tomber d'un côté ou de l'autre ...
Ca m'a fait penser à la blague : Un coq est sur un muret et pond un oeuf. De quel côté va t il tomber ? et devinez qui jouait le rôle de l'oeuf ?
Le parcours ne recevra donc que des éloges et je remercie les nombreux propriétaires pour nous avoir autorisé à traverser leur propriété.
Enfin, côté course, alors que la forme des dernières semaines semblait optimale, force a été de constater que j'en étais loin . Il est vrai que le profil cassant ne me correspondait pas . Mais en plus j'ai accumulé les erreurs en partant trop vite (4ème jusqu'au 17 ème kms) et en étant trop léger en ravito liquide (dû à une mauvaise estimation de mes temps de passage).
Si en plus vous ajoutez un retour en voiture rallongé de 20 minutes parce qu'un tracteur voulait pas se garer sur le bord pour laisser passer les 50 voitures alignées derrière lui.
Si en plus, vous découvrez qu'en Belgique les choux des religieuses au chocolat sont fourrés de crème et pas de chocolat .
Vous comprendrez aisément pourquoi il y a des jours comme ça ou rien ne va !
Résultats : à venir
Côté organisation :
- j'ai assez expliqué l'histoire du balisage pour ne pas y revenir.
- prix d'inscription ridicule : 10 euros les 53 bornes ! imbattable. Pas de cadeau évidemment mais repas d'après course (spaghetti bolo) offert. Incroyable mais vrai.
- 2 ravitos sur le circuit aux kms 23 et 37, complets et tenus par des personnes charmantes
- le parcours magnifique
- diversité des participants sympa : Hollandais, Wallon, Flamands, Français du nord, de la Meuse ...
Côté perso :
je ne sais trop que penser. Je termine en 6:01:50 à la 15ème position .
Je vais patienter jusqu'aux 42 bornes du trail D2B pour juger de mon état de forme. En attendant, 15 jours dans le sud me permettront de faire pas mal de sorties VTT pour travailler les cuisses (chose que j'ai délaissé depuis 2 mois). On verra les résultats !
Calendrier début 2016 :
17 janvier : trail D2B (42 kms)
30 janvier : trail hiovernal du mont (30 kms)
14 février : Gruissan Phoebus trail (50 kms)
21 février : cross duathlon de Jurbise
dimanche 13 décembre 2015
succession de offs
dans le cadre de ma prépa hivernale, j'enchaîne des sorties longues et rythmées avec des offs conviviaux.
Ainsi, après l'épisode malheureux du run and find de Charly, j'ai organisé une petite ballade collective sur les rives ( boueuses ) du Val Joly.
Je me suis déplacé à la reco du 31 kms du Trail du Caillou. De nombreuses personnes au rendez vous.
Enfin, j'ai découvert un petit coin de Belgique grâce à la belle organisation de Ann dans la forêt de Bonsecours.
En bref, tout va bien et la forme est optimale.
Voilà 6 mois que je n'ai pas accroché un dossard et cette interminable attente prendra fin la semaine prochaine avec un dernier objectif pour 2015 : le trail des gueules noires, 53 kms et 2000D+. Peut être un peu trop vallonné mais nous verrons ça sous peu .
Objectif : comme d'hab , dans les 20 premiers voire mieux si le dénivelé passe bien .
Ainsi, après l'épisode malheureux du run and find de Charly, j'ai organisé une petite ballade collective sur les rives ( boueuses ) du Val Joly.
Je me suis déplacé à la reco du 31 kms du Trail du Caillou. De nombreuses personnes au rendez vous.
Enfin, j'ai découvert un petit coin de Belgique grâce à la belle organisation de Ann dans la forêt de Bonsecours.
En bref, tout va bien et la forme est optimale.
Voilà 6 mois que je n'ai pas accroché un dossard et cette interminable attente prendra fin la semaine prochaine avec un dernier objectif pour 2015 : le trail des gueules noires, 53 kms et 2000D+. Peut être un peu trop vallonné mais nous verrons ça sous peu .
Objectif : comme d'hab , dans les 20 premiers voire mieux si le dénivelé passe bien .
dimanche 22 novembre 2015
sports nouveaux : run and find de Colfontaine
Charly est un gars sympa. Charly est le genre de gars que tout le monde aimerait rencontrer. Bon vivant, marrant, d'un abord facile et organisateur de off hors pair.
Certes, son passé "trouble" , marqué par une réputation peu flatteuse de chochotte ou d'esquive à berdoule lui a parfois porté préjudice et a été à l'origine de nombreuses moqueries. Cependant, comme le bon vin ou comme la bonne bière (dont Luc s'est imprégné samedi soir) , Charly a su évoluer.
Comme une chenille devient papillon, notre ami s'est transformé en un légionnaire des sentiers. Mi homme , mi sanglier. Le seul problème est que son cerveau oscille entre ces deux personnalités.
La semaine dernière, le Charly humain nous a offert un formidable condensé de ses capacités lors du off nocturne de Colfontaine : convivialité, sourire, orientation au mètre prêt, estimation temporelle respectée à la seconde, ravito d'après course ... le top.
Mais voilà, au lieu de rester sur une bonne note, il a fallu qu'il remette le couvert. Bien entendu, on ne peut proposer à ses convives deux fois consécutivement les mêmes délices, il faut alterner les plaisirs pour ne pas lasser son public. Alors le Charly sanglier s'est creusé les méninges. Il a réfléchi des jours et des jours pour nous inventer un nouveau concept : le run and find.
Oh le concept est simple : mettre la clef de sa voiture (contenant les affaires de copains innocents ainsi que leurs papiers d'identité) dans une poche ouverte de sa veste et gambader gaiement dans un bois en automne, faire des cabrioles dans les terrils, s’ébattre joyeusement dans toutes les flaques de boue que l'on peut trouver et annoncer à 2 bornes de l'arrivée : "les gars , j'ai perdu mes clés".
Voilà, c'est marrant comme jeu paraît il. En tout cas ça a bien fait marrer les belges à qui on a raconté notre histoire afin qu'ils daignent nous prêter leur portable pour contacter les secours.
En effet, le français qui court en Belgique oublie son portable ... dans la voiture, ou pense à le prendre mais ne sait pas quels chiffres il faut faire pour téléphoner en France. De vrais glands.
Une fois la partie lancée, le but évident est de retrouver ces foutues clés. Les indices , aucun. Charly a estimé que mettre un porte clef visible à ses clés serait trop facile pour ses (ex)copains. Alors on a cherché au milieu des feuilles, le nez au ras du sol, imitation des chiens à truffe. On a rien trouvé , sauf une colère grandissante envers notreconnard gentil organisateur.
Vu que notre recherche lui paraissait encore trop facile, il nous a proposé de grimper l'énorme terril que nous avions descendu plus tôt pour vérifier que ses clés ne se trouvaient pas au sommet. Honnêtement, il valait mieux que nous ne les retrouvions pas, car je pense que Ludo (son second ex copain) et moi les lui aurions caler bien profond dans le fondement pour être certain qu'il ne les égare plus.
Tout compte fait, on ne les a pas trouvé.
Vous ai je dit qu'on en était à 3 h de recherche sans ravito, sans eau ou presque et qu'il faisait froid ? non ? Charly nous a dit que cela pimentait le jeu.
finalement, nous avons réussi à joindre ma femme (oui car Charly ne connaît pas le numéro de la sienne ...) pour qu'elle vienne nous chercher.
Fin du calvaire.
Et non ! le jeu ne peut se finir ainsi. Si vous avez bien suivi, nous sommes trois égarés. Et ma voiture contient déjà ma femme et mes deux enfants. quelques secondes pour faire le calcul ...
Oh putain, il manque une place. Pas grave, il y a le coffre de la voiture. Mais qui va y aller ? choix cornélien si il en est. Le coupable de notre galère ? non, il préfère s'assoir à côté de ma femme. Mais qui alors ? Qui peut bien rentrer dans un espace exigu ? De qui se moque t on pour sa taille de Hobbit , hein de qui ?
Et me voilà à me faufiler dans la malle ...
Pas de ceinture, couché comme un clébard sur la moquette du véhicule afin de ne pas me faire repérer par les flics et j'entends Charly parler tranquillement avec ma femme. "Alors tu vois quand j'étais petit, j'habitais cette maison et blablabla ". Oh mon con, heureusement que tu cours vite.
Nous voici donc à Malplaquet, frontière française avec les douaniers en face de nous. Dans notre voiture, Une (magnifique) femme, 2 enfants et trois gars puants, dégueulasses et sans papiers dont un dans le coffre. En gros, ça ressemble davantage à une prise d'otage ou à un passage en douce d'immigrés clandestins plutôt qu'au résultat d'un run and find.
Commencée dans la joie, cette organisation made in Charly va finir dans un avion direction la Syrie .
Au dernier moment, nous avons pris une petite rue parallèle non couverte par les douaniers qui nous mènera sans encombre à destination.
Voilà, voilà. Que dire de plus ? Nous avons été heureux de revoir Tron, Stan le chamoix et son géniteur, les filles du team TDC et consort qui restent les bienvenus lors de ces sorties réjouissantes.
Nous avons aussi été heureux d'avoir connu Charly. Je tiens à excuser son absence au travail demain , notre ami a préféré se terrer loin de chez lui pour éviter toutes représailles ...
J'ai toujours pas compris de qui il avait si peur .
Certes, son passé "trouble" , marqué par une réputation peu flatteuse de chochotte ou d'esquive à berdoule lui a parfois porté préjudice et a été à l'origine de nombreuses moqueries. Cependant, comme le bon vin ou comme la bonne bière (dont Luc s'est imprégné samedi soir) , Charly a su évoluer.
Comme une chenille devient papillon, notre ami s'est transformé en un légionnaire des sentiers. Mi homme , mi sanglier. Le seul problème est que son cerveau oscille entre ces deux personnalités.
La semaine dernière, le Charly humain nous a offert un formidable condensé de ses capacités lors du off nocturne de Colfontaine : convivialité, sourire, orientation au mètre prêt, estimation temporelle respectée à la seconde, ravito d'après course ... le top.
Mais voilà, au lieu de rester sur une bonne note, il a fallu qu'il remette le couvert. Bien entendu, on ne peut proposer à ses convives deux fois consécutivement les mêmes délices, il faut alterner les plaisirs pour ne pas lasser son public. Alors le Charly sanglier s'est creusé les méninges. Il a réfléchi des jours et des jours pour nous inventer un nouveau concept : le run and find.
Oh le concept est simple : mettre la clef de sa voiture (contenant les affaires de copains innocents ainsi que leurs papiers d'identité) dans une poche ouverte de sa veste et gambader gaiement dans un bois en automne, faire des cabrioles dans les terrils, s’ébattre joyeusement dans toutes les flaques de boue que l'on peut trouver et annoncer à 2 bornes de l'arrivée : "les gars , j'ai perdu mes clés".
Voilà, c'est marrant comme jeu paraît il. En tout cas ça a bien fait marrer les belges à qui on a raconté notre histoire afin qu'ils daignent nous prêter leur portable pour contacter les secours.
En effet, le français qui court en Belgique oublie son portable ... dans la voiture, ou pense à le prendre mais ne sait pas quels chiffres il faut faire pour téléphoner en France. De vrais glands.
Une fois la partie lancée, le but évident est de retrouver ces foutues clés. Les indices , aucun. Charly a estimé que mettre un porte clef visible à ses clés serait trop facile pour ses (ex)copains. Alors on a cherché au milieu des feuilles, le nez au ras du sol, imitation des chiens à truffe. On a rien trouvé , sauf une colère grandissante envers notre
Vu que notre recherche lui paraissait encore trop facile, il nous a proposé de grimper l'énorme terril que nous avions descendu plus tôt pour vérifier que ses clés ne se trouvaient pas au sommet. Honnêtement, il valait mieux que nous ne les retrouvions pas, car je pense que Ludo (son second ex copain) et moi les lui aurions caler bien profond dans le fondement pour être certain qu'il ne les égare plus.
Tout compte fait, on ne les a pas trouvé.
Vous ai je dit qu'on en était à 3 h de recherche sans ravito, sans eau ou presque et qu'il faisait froid ? non ? Charly nous a dit que cela pimentait le jeu.
finalement, nous avons réussi à joindre ma femme (oui car Charly ne connaît pas le numéro de la sienne ...) pour qu'elle vienne nous chercher.
Fin du calvaire.
Et non ! le jeu ne peut se finir ainsi. Si vous avez bien suivi, nous sommes trois égarés. Et ma voiture contient déjà ma femme et mes deux enfants. quelques secondes pour faire le calcul ...
Oh putain, il manque une place. Pas grave, il y a le coffre de la voiture. Mais qui va y aller ? choix cornélien si il en est. Le coupable de notre galère ? non, il préfère s'assoir à côté de ma femme. Mais qui alors ? Qui peut bien rentrer dans un espace exigu ? De qui se moque t on pour sa taille de Hobbit , hein de qui ?
Et me voilà à me faufiler dans la malle ...
Pas de ceinture, couché comme un clébard sur la moquette du véhicule afin de ne pas me faire repérer par les flics et j'entends Charly parler tranquillement avec ma femme. "Alors tu vois quand j'étais petit, j'habitais cette maison et blablabla ". Oh mon con, heureusement que tu cours vite.
Nous voici donc à Malplaquet, frontière française avec les douaniers en face de nous. Dans notre voiture, Une (magnifique) femme, 2 enfants et trois gars puants, dégueulasses et sans papiers dont un dans le coffre. En gros, ça ressemble davantage à une prise d'otage ou à un passage en douce d'immigrés clandestins plutôt qu'au résultat d'un run and find.
Commencée dans la joie, cette organisation made in Charly va finir dans un avion direction la Syrie .
Au dernier moment, nous avons pris une petite rue parallèle non couverte par les douaniers qui nous mènera sans encombre à destination.
Voilà, voilà. Que dire de plus ? Nous avons été heureux de revoir Tron, Stan le chamoix et son géniteur, les filles du team TDC et consort qui restent les bienvenus lors de ces sorties réjouissantes.
Nous avons aussi été heureux d'avoir connu Charly. Je tiens à excuser son absence au travail demain , notre ami a préféré se terrer loin de chez lui pour éviter toutes représailles ...
J'ai toujours pas compris de qui il avait si peur .
dimanche 15 novembre 2015
Off de Colfontaine version nocturne
En ce samedi 14 novembre, nous étions au milieu de nulle part pour participer au Off du bois de Colfontaine version nocturne concocté par Charly.
Aux petits oignons. 15 kms, 2 terrils , une descente infernale. 2 heures de plaisir avec un des personnages de Tron (tout à droite), notre Yves national (dit le "serre file") affuté comme jamais, des membres du team madres (avec leur alcool national), Laurent le Valenciennois adepte du tapis de course qui s'interrogeait sur le pourcentage a rentré sur son appareil pour imiter la montée du Sauwartan, Un adepte des burnes à l'air qui s'est déchiré l'entre jambe du cuissard pour courir plus libre , notre caution habituelle féminine (Valérie) et j'en oublie certainement !
Merci encore à Charly .Comme d'hab quoi !
Aux petits oignons. 15 kms, 2 terrils , une descente infernale. 2 heures de plaisir avec un des personnages de Tron (tout à droite), notre Yves national (dit le "serre file") affuté comme jamais, des membres du team madres (avec leur alcool national), Laurent le Valenciennois adepte du tapis de course qui s'interrogeait sur le pourcentage a rentré sur son appareil pour imiter la montée du Sauwartan, Un adepte des burnes à l'air qui s'est déchiré l'entre jambe du cuissard pour courir plus libre , notre caution habituelle féminine (Valérie) et j'en oublie certainement !
Merci encore à Charly .Comme d'hab quoi !
jeudi 22 octobre 2015
Vacances Toussaint 2015
jour 1 : 28.8 kms , parcours Névian, Marcorignan, Moussan , Montredon, CAP, 2h46
suivi par papa à vélo
jour 3 : 23.4 kms, parcours de Peyriac, CAP, 2h11
avec Cédric
jour 4 : 41 kms, parcours de Portel et sud de Fontfroide, VTT, 3h17
seul
jour 5 : 17 kms, parcours moujan, pech redon, vigie plateau de figueres, couleuvre , CAP, 1h36
jour 6 : parcours de Port la Nouvelle, la Franqui, VTT , 31,5 kms, 1h41
jour 7 : tour du Salagou, CAP, 22.4 kms, 1h48
jour 8 : parcours Bizes minervois , Aigues vive, VTT, 38.5 kms, 2h31
jour 9 : parcours Névian, Montredon, Bizanet, CAP, 33,6 kms, 3h06
jour 10 : parcours génial dans la clape, armissan saint pierre , VTT, 42 kms , 2h47
jour 12 : parcours dans la clape via les capoulades, CAP, 22 kms, 2h00
suivi par papa à vélo
jour 3 : 23.4 kms, parcours de Peyriac, CAP, 2h11
avec Cédric
jour 4 : 41 kms, parcours de Portel et sud de Fontfroide, VTT, 3h17
seul
jour 5 : 17 kms, parcours moujan, pech redon, vigie plateau de figueres, couleuvre , CAP, 1h36
jour 6 : parcours de Port la Nouvelle, la Franqui, VTT , 31,5 kms, 1h41
jour 7 : tour du Salagou, CAP, 22.4 kms, 1h48
jour 8 : parcours Bizes minervois , Aigues vive, VTT, 38.5 kms, 2h31
jour 9 : parcours Névian, Montredon, Bizanet, CAP, 33,6 kms, 3h06
jour 10 : parcours génial dans la clape, armissan saint pierre , VTT, 42 kms , 2h47
jour 12 : parcours dans la clape via les capoulades, CAP, 22 kms, 2h00
Inscription à :
Articles (Atom)