dimanche 28 avril 2019
VTT : la transboraine 83 kms
Fin de cette belle semaine de cyclisme ou j'aurais finalement dépassé les 400 kms de vélo.
Après les 205 kms du caniculaire lundi de Pâques, me voilà pour la seconde année consécutive au départ de la transboraine , rando VTT débutant de Cuesmes.
Le temps a radicalement changé par rapport au début de semaine et c'est sous une pluie constante , et un froid certain (6 degrés) que je vais pouvoir profiter d'un bain de boue .
4 ravitos, un gobelet écologique à récupérer à la fin pour 8 euros d'inscription sur le 83 kms.
Parcours relativement roulant qui nous permet de sillonner le borinage et ses terrils et d'aller faire un joli tour dans la forêt de Colfontaine.
Peu de monde à cause de la météo et un temps sensiblement amélioré par rapport à l'année dernière (4h25 contre 4h40 ).
Une classique .
jeudi 25 avril 2019
Dodefondo 5 : l'ultra cycle
Le Dodefondo . Ou comment enchaîner 12 ultras en 12 mois .
J'ai déjà pu décrire ce challenge lors d'un post précédent et j'ai même réussi à programmer un magnifique calendrier sur lequel les épreuves se succèdent à un rythme régulier.
Oui mais voilà, la théorie s'éloigne souvent de la pratique ... surtout avec moi !
Après 4 échéances respectées , le freestyle est de retour .
Et pas un freestyle de chochotte ! Plutôt celui qui pique .
Faute de pouvoir courir, il me restait deux possibilités pour valider le dodefondo d'avril :
- soit monter en une fois 3500 m D+,
- soit réaliser une sortie de 200 kms (au moins ) à vélo.
J'ai opté pour la seconde possibilité .
Le problème, c'est qu'il faut arriver à caser une si longue sortie en terme :
- de temps (prêt de 8 h)
- de logistique (ravitaillement)
- de météo (éviter les jours de grand vent ou de pluie )
Du coup, j'ai utilisé mon lundi de Pâques caniculaire pour relever ce défi. Cela constituera ma première sortie à vélo route de l'année 2019 et la première fois ou je dépasserai les 180 kms de la partie vélo d'un ironman.
Pour valider cet objectif , j'ai choisi d'effectuer 2 boucles de 110 kms puis 90 kms qui débutent et finissent à la maison (2000 m D+ quand même). Ainsi, je pourrai m'hydrater , me restaurer et j'aurai mentalement le plaisir d'avoir effectué plus de la moitié du kilométrage à la fin de la première boucle.
J'ai rajouté à cette organisation, un arrêt intermédiaire au milieu de chacun des tours dans un bar ou une boulangerie pour me ravitailler correctement.
Départ, 7 heure du mat. A la fraîche avant la montée en flèche des températures. Je croise sur ces routes de campagne de nombreux faisans. le temps passe relativement vite et je suis impressionné par le territoire que l'on peut couvrir en parcourant autant de bornes.
Les lacs de l'eau d'heure, Le Val Joly sont traversés au rythme sans chercher à forcer plus que ça. Les belles côtes dans ce beau coin de pays sont nombreuses et pentues. Cela brise la platitude du paysage.
A la fin de la première boucle, je suis encore en bonne forme . Assez , en tout cas, pour apprécier le chemin déjà parcouru et me restaurer sereinement.
Je sais que la seconde boucle est beaucoup plus plane, je sais aussi que la chaleur va être au rendez vous. Je ne m'attarde guère et enchaîne rapidement sur la seconde partie.
La vallée de la Thure, Solre le château, Aulnoyes Aymeries, Bavay sont traversés facilement. Je suis surpris par tant d'aisance. Jusqu'au km 160 ...
La chanson change radicalement. J'ai faim, soif et j'ai chaud. Je grignote une banane, m'arrête dans un bar boire un coca mais chaque km sonne comme une victoire arrachée au bitume.
Le plaisir ressenti pendant de longues heures , s'est vite barré. il ne me reste que cet objectif toujours plus proche de valider ce cinquième dodefondo.
Je décompte les côtes, je prie pour que personne n'en ait rajouté une et j'avance inlassablement.
Le but est finalement atteint en 7 h (hors arrêts ) . La moyenne est surprenante : 29,3 kms/h.
Je me jette sur la bouffe et la boisson comme un affamé et passe le reste de la journée à profiter de cet objectif rempli.
Place au mois de mai . J'espère que je pourrai courir à nouveau, parce que 7 h à vélo, ça peut être long !
J'ai déjà pu décrire ce challenge lors d'un post précédent et j'ai même réussi à programmer un magnifique calendrier sur lequel les épreuves se succèdent à un rythme régulier.
Oui mais voilà, la théorie s'éloigne souvent de la pratique ... surtout avec moi !
Après 4 échéances respectées , le freestyle est de retour .
Et pas un freestyle de chochotte ! Plutôt celui qui pique .
Faute de pouvoir courir, il me restait deux possibilités pour valider le dodefondo d'avril :
- soit monter en une fois 3500 m D+,
- soit réaliser une sortie de 200 kms (au moins ) à vélo.
J'ai opté pour la seconde possibilité .
Le problème, c'est qu'il faut arriver à caser une si longue sortie en terme :
- de temps (prêt de 8 h)
- de logistique (ravitaillement)
- de météo (éviter les jours de grand vent ou de pluie )
Du coup, j'ai utilisé mon lundi de Pâques caniculaire pour relever ce défi. Cela constituera ma première sortie à vélo route de l'année 2019 et la première fois ou je dépasserai les 180 kms de la partie vélo d'un ironman.
Pour valider cet objectif , j'ai choisi d'effectuer 2 boucles de 110 kms puis 90 kms qui débutent et finissent à la maison (2000 m D+ quand même). Ainsi, je pourrai m'hydrater , me restaurer et j'aurai mentalement le plaisir d'avoir effectué plus de la moitié du kilométrage à la fin de la première boucle.
J'ai rajouté à cette organisation, un arrêt intermédiaire au milieu de chacun des tours dans un bar ou une boulangerie pour me ravitailler correctement.
Départ, 7 heure du mat. A la fraîche avant la montée en flèche des températures. Je croise sur ces routes de campagne de nombreux faisans. le temps passe relativement vite et je suis impressionné par le territoire que l'on peut couvrir en parcourant autant de bornes.
Les lacs de l'eau d'heure, Le Val Joly sont traversés au rythme sans chercher à forcer plus que ça. Les belles côtes dans ce beau coin de pays sont nombreuses et pentues. Cela brise la platitude du paysage.
A la fin de la première boucle, je suis encore en bonne forme . Assez , en tout cas, pour apprécier le chemin déjà parcouru et me restaurer sereinement.
Je sais que la seconde boucle est beaucoup plus plane, je sais aussi que la chaleur va être au rendez vous. Je ne m'attarde guère et enchaîne rapidement sur la seconde partie.
La vallée de la Thure, Solre le château, Aulnoyes Aymeries, Bavay sont traversés facilement. Je suis surpris par tant d'aisance. Jusqu'au km 160 ...
La chanson change radicalement. J'ai faim, soif et j'ai chaud. Je grignote une banane, m'arrête dans un bar boire un coca mais chaque km sonne comme une victoire arrachée au bitume.
Le plaisir ressenti pendant de longues heures , s'est vite barré. il ne me reste que cet objectif toujours plus proche de valider ce cinquième dodefondo.
Je décompte les côtes, je prie pour que personne n'en ait rajouté une et j'avance inlassablement.
Le but est finalement atteint en 7 h (hors arrêts ) . La moyenne est surprenante : 29,3 kms/h.
Je me jette sur la bouffe et la boisson comme un affamé et passe le reste de la journée à profiter de cet objectif rempli.
Place au mois de mai . J'espère que je pourrai courir à nouveau, parce que 7 h à vélo, ça peut être long !
mardi 16 avril 2019
VTT : MTB Barcelona
Nous y sommes. Premier objectif VTT de l'année.
Et j'y arrive bien préparé .
Faut avouer que l'enfer vécu lors de la reid VTT en Belgique l'année dernière m'a profondément marqué.
C'est donc péteux que je nous ai inscrit avec mon père à ce premier rendez vous en terre espagnole .
Le morceau , initialement costaud (80 kms et 2300 D+), s'est réduit en terme de distance lors du tracé final de l'organisation (67 kms et 2300 D+).
Pour autant, si la distance s'est raccourcie, le dénivelé , lui , reste conséquent par rapport à la longueur de l'épreuve.
Le jour J , le beau temps est au rendez vous et c'est sur un parcours sec que nous aurons à user nos pneus. La principale interrogation finalement demeure dans le type de terrain que nous allons rencontrer . L'effort peut ainsi changer du tout au tout. Entre une piste bitumée et un rec caillouteux , la vitesse de progression varie sensiblement .
Et c'est donc dans l'inconnu que nous nous alignons en fin de peloton pour tenter de relever le défi du jour. Un mélange de crainte et d'adrénaline m'habite .
Je m'attends à souffrir des épaules (j'ai toujours une barre douloureuse qui se créée avec les heures de pratique ) et je m'encourage en me disant que mon nouveau vélo, plus léger , mieux réglé sera un compagnon d'aventure plus fougueux que ma monture précédente.
Les premiers kms d'ascension seront entachés par un bouchon qui nous bloquera de longues minutes . Après celui ci nous serons relativement tranquille jusqu'au terme de l'épreuve.
Les côtes , parfois raides , s'enchaînent inlassablement sous un magnifique soleil et un paysage à couper le souffle.
Car ce MTB Barcelona se déroule à Sant Julia de Vilatorta , très loin de Barcelone finalement, dans un parc naturel ou les couleurs varient à chaque virage. C'est magnifique.
Les ruffes , cette terre rouge , donnent un goût de Colorado à travers les structures naturelles qu'offre notre environnement .
Le plaisir est au rendez vous , parfois décuplé par de formidables descentes tracées dans des singles techniques.
Les points de vue sont grandioses, les fermes croisées sont typiques avec de l'herbe jaune , des vaches efflanquées et une personne âgée qui étend son linge . Toutes les représentations mentales de l'Espagne y passent.
Finalement, la seule déception restera dans l'épreuve elle même qui s'avèrera trop "simple".
Attention, il faut quand même se farcir tous ces kms et toutes ces ascensions mais une des principales difficultés en VTT est l'accroche.
Lorsqu'elle est présente , tout est plus simple. Et ce fut le cas aujourd'hui . Pas de pierres qui font déraper le pneu arrière et pas mal de pistes pentues mais roulantes.
J'ai réalisé ces 67 kms en compagnie de mon père , 61 ans , au milieu du classement général (4h58). Pas mal pour un vieux !
Côté organisation :
- le prix d'inscription est cher (50 euros) , comme toutes les orgas Klassmark. Cependant, vous êtes sûr d'avoir de somptueuses photos , un maillot de vélo magnifique aux couleurs de l'épreuve , des ravitos fournis (2) et un repas d'après course.
- Balisage nickel
- Bouchon dès le début à revoir
- parcours sympa mais plutôt roulant
Côté perso :
- Depuis quelques mois, je m'efforce de réaliser au moins 100 kms de VTT par semaine. Cela permet de travailler l'endurance et la puissance par la réalisation d'un dénivelé plus important qu'en cap. Le nouveau vélo m'offre aussi une garantie évidente sur laquelle je peux m'appuyer lors de ce type d'épreuve.
- Je vais tenter de réaliser d'autres marathon VTT en Belgique au cours des mois à venir pour essayer de m'aligner sur le grand raid godefroy en septembre.
- Cette orientation est aussi due à un mollet récalcitrant qui m'oblige à stopper la course à pied jusqu'au mois de mai.
- Et évidemment , c'est toujours sympa de pouvoir partager des moments sportifs comme ceux ci avec son père . Nous retenterons donc une aventure dans ce genre . (MTB Girona ?)
mercredi 3 avril 2019
Marathon la Fortifiée
Après 4 mois de préparation idylliques, les premiers couacs sont intervenus début mars. Une douleur à la cuisse m'a obligé à stopper l'entraînement course à pied une dizaine de jours. Durant ce temps, j'ai pris la plus grosse chute VTT de ma vie : entorse à la main droite , côtes cassées et plaies multiples.
En serrant les dents, j'ai tout de même pu reprendre la course à pied comme le vélo. La douleur reste intense le temps que l'amplitude respiratoire soit trouvée et je dois faire attention lors des descentes à ne pas trop m'engager .
Voilà l'état dans lequel je suis avant d'aller à Parfondeval tester ce marathon que je ne connais pas. D'ailleurs, si je m'y déplace, dans mon état actuel , c'est pour une bonne raison : les accompagnateurs vélo sont autorisés.
Et ce déplacement sera l'occasion de battre le record de distance à vélo pour mon fils de 9 ans.
Le départ sera réalisé sur la place principale ou un faible peloton s'élancera sur les routes désertes de ce coin de l’Aisne.
Ne vous attendez pas pour autant à un marathon traditionnel. Certes, le tracé est entièrement bitumé mais il présente de nombreuses difficultés. Des côtes et des descentes, nombreuses et raides. Un mur , au trentième et une fin de parcours délicate .
Pour couronner le tout, des ravitos , plus ou moins espacés de 5 kms sont jusqu'au semi marathon trop peu riches . les choix sont restreints (raisin sec, abricot sec et pain d'épice). Curieux et décevant d'autant que le site de la course ne précisait pas ce détail.
Outre ce fait, il est à souligner l'autorisation offerte aux voitures de remonter la course dans le même sens que l'épreuve . Encore une mauvaise surprise même si il faut bien reconnaître que cela n'a pas été une circulation dense .
Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, je n'étais pas là pour moi mais pour le petit. Et cela a causé quelques difficultés. D'abord, devoir gérer sa course et l'état physique de Gabriel. Veiller à son hydratation, sa nutrition , ses trajectoires pour ne pas gêner les autres concurrents, ainsi que des conseils sur les changements de braquet pour affronter les différentes pentes du parcours.
Cette double casquette m'a empêché de rentrer dans ma bulle et je n'ai franchement pas apprécié l'épreuve d'autant que les jambes du jour n'étaient pas de première fraicheur.
Pas grave, Gabriel a ainsi pu battre son record de kms et se la péter pendant une semaine auprès de ses copains. Maintenant, il souhaiterait m'accompagner sur un 100 bornes ...
On verra donc ceci dans quelques temps.
Une semaine avant l'épreuve j'avais échangé avec l'organisation sur facebook afin d’éclaircir certains points. Celle ci m'a gentiment répondu et suite à cet échange je leur ai demandé si il était possible d'offrir à Gabriel une médaille à la fin de l'épreuve. Quitte à la payer. J'attends toujours la réponse et je lui ai donc offert évidemment la mienne.
Dommage.
Côté organisation :
- tracé sympa, vallonné mais absolument pas propice à faire un temps !
- ravitos étranges : moins nombreux que sur un marathon classique et surtout moins bien pourvus. A revoir.
- possibilité d'avoir un accompagnateur vélo et ça c'est cool
- peu de coureurs
- bénévoles agréables
- circulation autorisée sur le parcours (dans un sens seulement) mais cela oblige à se ranger sur le bord de la route à certains moments
- un tshirt et une belle médaille de finisher
- des photos gratuites ou payantes dont une offerte à l'arrivée
Côté perso :
- les ennuis continuent, 4 jours après l'épreuve , c'est le mollet qui a lâché et je ne pourrai reprendre la cap que début mai ... je passe donc complètement au vélo. Et je dois faire une croix sur le trail du cap de creu ainsi que sur les autres objectifs running .
- prochain défi : le MTB Barcelona en VTT
VTT : la montagn'hard 65 kms
Première rando VTT de l'année et comme souvent, c'est la Belgique qui m'accueille pour baptiser ce millésime 2019.
Les circonstances sont un peu spéciales vu que je reprends depuis peu suite à 10 jours d'arrêt pour cause d'élongation. Au delà de ceci, cette rando arrive trois jours après une énorme chute en VTT près de la maison. Les genoux bleus et crevassés de blessures. Le dos endolori, la main droite gonflée et surtout les côtes hypers douloureuses.
Sanglées au maximum, elles se font "oubliées" à vélo. Beaucoup moins en course à pied.
Bref, le temps du jour fut idéal : ensoleillé, chaud (départ de la rando à 12h). Quelques légers couacs dans le fléchage, un changement de couleur de flèches entre le début de la rando et la forêt de colfontaine qui m'a perturbé, mais rien qui n'a gâché le plaisir de parcourir ces 61 kms et 750 m D+.
Une bonne première organisation pour le cyclo mambo club qui a le mérite de faire découvrir les beautés du coin : terrils, caillou qui bique, bois de Colfontaine, pavés ...
Merci aux bénévoles et à l'année prochaine !
vendredi 29 mars 2019
l'U2B, nouvel espoir
Mon avantage, c'est que je rêve facilement.
Un autre avantage, c'est que d'autres me permettent d'assouvir mes rêves.
Ces bienfaiteurs sont d'autant plus importants qu'ils doivent répondre à tout un tas d'obligations logistiques et organisationnelles qui en dissuadent plus d'un.
Faute d'ultr'ardèche, je vais me diriger vers l'U2B .
L'objectif se déplace donc de mai à juillet .
Je développerai le sujet dans quelques jours lorsque j'aurais digéré la belle gamelle que j'ai subi hier en VTT !
Un autre avantage, c'est que d'autres me permettent d'assouvir mes rêves.
Ces bienfaiteurs sont d'autant plus importants qu'ils doivent répondre à tout un tas d'obligations logistiques et organisationnelles qui en dissuadent plus d'un.
Faute d'ultr'ardèche, je vais me diriger vers l'U2B .
L'objectif se déplace donc de mai à juillet .
Je développerai le sujet dans quelques jours lorsque j'aurais digéré la belle gamelle que j'ai subi hier en VTT !
vendredi 15 mars 2019
Ultr'Ardèche, fin du rêve
Bon ben voilà ... Tout est dit.
Il n'y aura pas d'ultr'Ardèche pour moi cette année.
Pour une bonne et simple raison : je suis trop con pour lire un calendrier.
J'étais persuadé que la course avait lieu durant le week end de l'ascension . Je me voyais déjà en famille profiter de 5 jours en Ardèche. Au lieu de ça , le 18 et 19 mai tombent dans un weekend classique sans pont , sans rien et m'empêche donc de me présenter au départ.
Être enseignant a du bon, cela présente aussi certaines contraintes dont celle de ne pas pouvoir prendre de jours de congés.
Dommage, j'étais bien parti avec une belle préparation et des courses intermédiaires concluantes.
Seconde raison, conséquence physiologique d'une déception psychologique peut être. Le lendemain de ce constat, ma cuisse gauche a lâché. Je suis dans l'incapacité de courir comme de pédaler. Forcer (comme pour monter une marche ) m'est impossible. Je mise sur une élongation.
En deux jours , j'ai tout perdu : l'ultr'ardèche et certainement mes deux périples espagnols d'avril ...
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